Voila pourquoi il faut boire du lait!
Pur comme un blog de bière
dimanche 23 août 2009
Une bière: La Bavaria 8.6 Gold.
Dernière née de la brasserie néerlandaise Bavaria, la « 8.6 gold »permet à la marque d'étendre sa gamme avec cette blonde titrant 6,5°.
Brasserie fondée en 1719, elle prend son nom bien des années plus tard en référence à ses levures issues de Bavière.
Deuxième brasseur des Pays-Bas, « Bavaria » propose au marché français sa gamme des 8.6 ainsi que ses bières pseudo-trappiste « La Trappe ».
Bière de fermentation basse, la « 8.6 gold » est une bière de couleur miel-foncé aux reflets ambrés dont la mousse est assez fugace.
Exhalant une odeur sucrée, la bière est liquoreuse en bouche et possède peu d'amertume.
Brassée à partir de quatre malts différents produits par la brasserie qui comporte une malterie, la bière se consomme avec parcimonie pour ne pas être trop écoeurante.
Bien qu'aux mains de la même famille depuis sa création, la brasserie utilise les dernières technologies et s'immisce dans une démarche écologiquece qui lui permet de comsommer moins d'eau lors de sa production!
Lien Internet: http://www.bavaria86.com/
mardi 18 août 2009
lundi 17 août 2009
Fabrication Première Bière Grains.
Enfin, après de longs mois à rêver à notre première fabrication en grains, nous avons pu la réaliser samedi dernier. 
Évidement, elle ne s'est pas passée comme initialement prévu et le fait d'avoir décider d'organiser un repas en même temps à longuement rallongé le temps de fabrication!
Pourtant, dés huit heures trente, nous avons installé notre matériel, monté le moulin à malt et commencé à se pencher sur la formule.
Mais après avoir pesé les malts, la mouture des grains nous a posé quelques problèmes, avions nous bien réglé notre appareil?
Le brassage, lui s'est à notre avis bien passé, les différents paliers ont été respecté au degré prés, notre brûleur s'étant trouvé relativement facile à régler. Au cours de ce chauffage direct à plusieurs paliers, nous avons rajouté un peu de gypse (sulfate de calcium) pour régler le pH.
Le test à la teinture d'iode positif, nous avons fini notre chauffe, paré pour la filtration!
La filtration à commencé à nous poser problème lors du transvasement du brassin dans la cuve de filtration (bassine percée avec des trous de 2 mm). En effet, il a fallu longtemps pour que le gâteau se forme et nous avons malencontreusement mélangé avec une spatule. Aussi bien qu'ayant fait une recirculation et un lavage des drêches, nous avons obtenu un jus très trouble.
La cuisson et les houblonnages ont eu l'air de se dérouler comme prévu,mais notre moût ne s'en est pas trouvé plus clair, toujours plus prés d'une eau boueuse que d'un liquide buvable!
Ayant refroidi notre brassin de 20 litres en un peu plus d'une demi-heure avec un serpentin en cuivre immergé, nous avons pu transvaser notre « soupe » dans notre bonbonne de fermentation, ajouter notre levure (un paquet de DCL Safale S-04) et mettre le tout dans notre frigo-étuve à 20°c
Une rapide prise de la densité a donné des résultats aberrants(une future teneur en alcool de 10,5°!!!!), sûrement du au fait des nombreuses particules en suspension dans notre fabrication!
Deux jours après, un glouglou se fait entendre qui s'il ne promet pas une bière limpide indique au moins que les levures ont à manger!
Beaucoup d'erreur ont été faites, la prochaine fabrication sera espérons le plus aboutie. Pour l'instant, laissons à notre première bière le temps de fermenter, essayons de lui trouver un nom en visionnant les photos et les vidéos de notre journée mémorable!
Évidement, elle ne s'est pas passée comme initialement prévu et le fait d'avoir décider d'organiser un repas en même temps à longuement rallongé le temps de fabrication!
Pourtant, dés huit heures trente, nous avons installé notre matériel, monté le moulin à malt et commencé à se pencher sur la formule.
Mais après avoir pesé les malts, la mouture des grains nous a posé quelques problèmes, avions nous bien réglé notre appareil?
Le brassage, lui s'est à notre avis bien passé, les différents paliers ont été respecté au degré prés, notre brûleur s'étant trouvé relativement facile à régler. Au cours de ce chauffage direct à plusieurs paliers, nous avons rajouté un peu de gypse (sulfate de calcium) pour régler le pH.
Le test à la teinture d'iode positif, nous avons fini notre chauffe, paré pour la filtration!
La filtration à commencé à nous poser problème lors du transvasement du brassin dans la cuve de filtration (bassine percée avec des trous de 2 mm). En effet, il a fallu longtemps pour que le gâteau se forme et nous avons malencontreusement mélangé avec une spatule. Aussi bien qu'ayant fait une recirculation et un lavage des drêches, nous avons obtenu un jus très trouble.
La cuisson et les houblonnages ont eu l'air de se dérouler comme prévu,mais notre moût ne s'en est pas trouvé plus clair, toujours plus prés d'une eau boueuse que d'un liquide buvable!
Ayant refroidi notre brassin de 20 litres en un peu plus d'une demi-heure avec un serpentin en cuivre immergé, nous avons pu transvaser notre « soupe » dans notre bonbonne de fermentation, ajouter notre levure (un paquet de DCL Safale S-04) et mettre le tout dans notre frigo-étuve à 20°c
Une rapide prise de la densité a donné des résultats aberrants(une future teneur en alcool de 10,5°!!!!), sûrement du au fait des nombreuses particules en suspension dans notre fabrication!
Deux jours après, un glouglou se fait entendre qui s'il ne promet pas une bière limpide indique au moins que les levures ont à manger!
Beaucoup d'erreur ont été faites, la prochaine fabrication sera espérons le plus aboutie. Pour l'instant, laissons à notre première bière le temps de fermenter, essayons de lui trouver un nom en visionnant les photos et les vidéos de notre journée mémorable!
vendredi 14 août 2009
Visite de la Brasserie des Ursulines.
Implanté depuis 2007 dans la petite cité médiévale de Crémieu dans l'Isére, la « Brasserie les Ursulines » occupe le site de l'ancienne église du couvent des disciples de Sainte Ursule.
L'entrée ornée d'un superbe plant de houblon qui grimpe le long de la façade certifie que l'on est bien dans une micro-brasserie.
Située à l'intérieur d'un « brewpub », le matériel de brassage permet de réaliser des brassins de 900l ce qui représente une production d'environ 250hl par an.
La gamme des bières comporte une dizaine de bière réparties en deux groupes: les bières dites d'été et celles dites d'hiver.
En ce milieu du mois d'août, nous avons donc pu goûter la blanche, la blonde, la dorée et l'ambrée. Nous devrons donc revenir pour déguster la brune, la spéciale Noël ainsi que la toute nouvelle « Médiévale » disponible vers le début du mois d'octobre.
Bien sur, toutes les bières sont de fermentation haute et sont refermentées en bouteilles.
Brassées par un passionné dans un décor chargé d'histoire, les bières de la « Brasserie des Ursulines » se dégustent les unes après les autres pour trouver sa préférée!
Lien Internet:http://www.biere-les-ursulines.com/index.html
jeudi 13 août 2009
Une bière: La Blanche des Ballons.
Dans la catégorie « étiquette la plus moche », cette bière blanche vosgienne a de grande chances de remporter des prix avec son mono skieur kitsch en premier plan.
Au contraire, sa dégustation est plus attractive.
Couronnée d'une mousse fine et stable assez épaisse, la « Blanche des Ballons » dévoile une robe beige jaune pâle légèrement trouble.
Une fine odeur d'agrumes frais se dégage au nez.
Bière au goût très doux avec une effervescence très subtile, avec ses 4° elle est très agréable à boire pour se désoiffer.
Une fine odeur d'agrumes frais se dégage au nez.
Bière au goût très doux avec une effervescence très subtile, avec ses 4° elle est très agréable à boire pour se désoiffer.
Dans le massif des Vosges, le mot ballon indique le sommet des montagnes. Encore aujourd'hui l'origine de ce terme reste discutée !
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